close

Divers

Divers

Comment adopter un chat ?

adopter un chat

Chaque année, ce sont plus de 40 000 animaux en moyenne qui sont abandonnés. Cela représente une immense charge pour les structures de la protection animale qui sont débordées. Vous êtes passionné de chats ? Vous pouvez tout simplement en adopter un. Voici en détail tout ce que vous devez savoir sur l’adoption d’un chat.

Chaton ou chat adulte, mâle ou femelle

Adopter un chat adulte n’est pas toujours facile. Le comportement et le caractère de l’animal adulte ont déjà modelé les expériences et les épreuves qu’il a traversées. Le chaton peut plus facilement s’acclimater que l’adulte qui pourrait présenter d’importantes difficultés à s’intégrer dans un nouvel environnement. Vous comprenez qu’il sera un peu difficile de vouloir lui inculquer un style de vie auquel il n’était pas habitué. C’est pourtant la seule option qu’il vous reste, surtout si vous avez un profil d’adoption bien défini.

Pour choisir un chat adulte, l’idéal est de vous renseigner auprès des refuges et associations dédiés à cet effet. Vous pourrez dans ces structures bénéficier de nombreux renseignements (le nom et la date de naissance de l’animal, le caractère, etc.) au sujet de l’animal à adopter.  Si vous hésitez encore à adopter un chat, les histoires sur les chats célèbres serviront peut-être à vous convaincre.

Si toutefois vous optez pour un chaton, à partir de deux mois, il peut être sevré pour rejoindre sa nouvelle famille. La période de deux mois après la naissance est très importante pour le développement du jeune chat. Durant cette période, il acquiert aux côtés de sa mère les règles essentielles. Pour ce qui est du sexe, chacun a ses avantages et ses inconvénients. Notez que comme tout bon mâle, le chat aura tendance à vouloir marquer son territoire ; bienvenue les fugues et les batailles avec d’autres chats s’il a accès à l’extérieur. Le risque avec la chatte est de se retrouver à accueillir une portée non désirée.

Combien coute l’adoption d’un chaton

Si vous choisissez d’adopter votre chaton dans un refuge, vous devrez donner une participation financière d’environ 150 euros. Elle couvre en général la première visite chez un vétérinaire, l’identification (tatouage ou puce) et les premiers vaccins. La stérilisation de l’animal adopté étant obligatoire, le refuge vous demandera également un chèque de 300 euros qui représente une caution de stérilisation qui vous sera restituée dès que le bon de castration signé par le vétérinaire sera transmis à l’association.

L’adoption auprès d’un particulier est souvent exemptée de frais sauf si certaines actions ont déjà été réalisées (vaccination, dépistage de maladie, identification et stérilisation) ou lorsqu’il s’agit d’un chaton de race. Dans ce cas, l’éleveur est libre de fixer son prix.

Que prévoir pour accueillir un chat chez soi ?

Accueillir un chat chez vous implique que vous devez doter votre maison de certains équipements pour le bien-être de votre petit compagnon :

  • Un bac à litière ou une maison de toilette ;
  • De la litière ;
  • Des croquettes ou une nourriture humide spéciale chaton ;
  • Des gamelles pour croquettes/nourriture et eau ;
  • Des jouets pour chat.

Vous n’aurez aucun mal à en trouver dans les supermarchés, dans les grandes enseignes de jardinage et sur les sites internet. Il en existe de nombreux types sur le marché. Vous pouvez vous renseigner sur les modèles que votre chaton utilisait dans son précédent foyer pour faciliter la transition.

Lire la suite ...
DiversSanté

L’hypnose, un outil au service de la problématique

L’hypnose qu’elle soit utilisé en thérapie, dans le secteur médical ou encore en matière de divertissement n’est qu’un outil, une technique permettant d’atteindre un résultat.

L’existence de l’hypnose, ainsi que de l’état hypnotique n’est plus à démontrer. De nombreuses études scientifiques et notamment à l’aide d’outil comme l’imagerie ont pu identifier un état naturel et modifié de conscience à part entière, l’hypnose.

La différence entre ces types d’hypnose réside dans la suggestion, pour le secteur médical cette dernière résidera dans une anesthésie d’un ou plusieurs membres, ou encore un meilleur contrôle de la douleur.

En ce qui concerne le secteur du divertissement, les suggestions vont se focaliser sur du spectaculaire, « du magique », simplement des phénomènes hypnotiques physiques permettant d’impressionner. D’ailleurs certaines pratiques sont parfois discutables d’un point de vue éthique.

Et en thérapie à quoi sert l’état hypnotique ? Sur quoi ce focalise les suggestions d’un hypnothérapeute qui cherche à résoudre une problématique ?

L’hypnose, un outil ?

L’hypnose est-il un simple outil ? Il peut être déroutant de se poser la question sous cet angle car d’une manière générale l’ensemble des acteurs en hypnothérapie avance l’état hypnotique comme vecteur de changement.

Cependant, ce n’est pas l’hypnose ou l’état hypnotique qui permet le changement, mais bien les suggestions qui y sont associé.

L’hypnose à était démontré comme un état naturel et modifié de conscience, à mi-chemin entre l’état de veille (état de conscience) et l’état de sommeil. C’est d’ailleurs d’ici, que vient la confusion entre hypnose et sommeil. Du fait d’une certaine immobilité de la personne sous hypnose, la confusion demeure, cependant, la personne en état hypnotique et parfaitement consciente de tout ce qui l’entoure tout en étant focalisé sur elle-même.

Tout le monde, l’ensemble des humains sur terre passent par des phases hypnotiques, voulues ou non. L’état d’hypnose est un état commun à l’humanité on ne peut pas être réceptif ou non réceptif à l’hypnose, mais plutôt à l’induction utilisé pour entrer en état d’hypnose. D’ailleurs, tout le monde passe par un état hypnotique plus ou moins prononcé avant l’endormissement et pendant la phase de réveil !

Mais, malgré cela, malgré le fait que vous effectuiez des états hypnotiques tous les jours, vous ne changez pas pour autant, n’est-ce pas ? C’est normal, car l’état d’hypnose ne vous fait pas changer !

L’état hypnotique permet une réduction importante de la notion critique de la personne, ce qui permettra une assimilation plus importante des suggestions énoncés par le thérapeute, la est le travail thérapeutique.

Je vous rassure l’état hypnotique ne ce manifeste que quand la personne se sent en sécurité, c’est avant tout un état agréable. Il n’est nul question de pouvoir suggérer des choses dangereuses ou manipulatoire, l’inconscient reste un protecteur de votre valeur ainsi que de votre moral, mais surtout de votre intégrité. Si un thérapeute ou n’importe quel personne pratiquant l’hypnose exercé des suggestions manipulatoires à votre encontre vous sortiriez de l’état d’hypnose pour pouvoir vous battre ou fuir (instinct de survie) ou, grâce à notre éducation argumenter et essayé de comprendre la démarche de la personne.

De toute manière, une fois identifié vous ne pourrez plus aller en état hypnotique avec cette personne car la relation de confiance sera brisée et le sentiment de sécurité ne sera plus présent.

Les suggestions (bienveillantes) ont un pouvoir phénoménal de changement. En hypnothérapie ont peut les retrouver de différentes façons, directes, indirectes ou encore cachés. Tous les moyens sont bons pour pouvoir vous faire changer !

Mais sur quoi les suggestions doivent-elles s’attarder pour pouvoir faire changer une personne et lui permettre de résoudre sa problématique, sur le symptôme ou sur la cause ?

Le symptôme, un mirage

Un ou plusieurs symptômes, sont définis comme la manifestation d’une pathologie. Cette dernière peut être physique ou psychique. D’une manière générale ils prennent la même forme suivant les pathologies.

Au niveau physique, une pathologie abdominale provoquera la plupart du temps, des symptômes abdominaux ou encore gastriques, d’une manière commune.

Au niveau psychique, malgré des répercussions parfois corporelles, la majeure partie des symptômes s’accorderont sur des manifestations anxieuses de différentes formes.

Cependant, dans la plupart des pathologies psychiques, les symptômes ce manifeste de manière différentes en fonction de l’histoire ainsi que du vécu et des expériences de la personne.

Mais quoi qu’il en soit, le symptôme aussi invalidant soit-il n’est qu’une expression parmi d’autres de la problématique. De plus, durant la vie d’une pathologie mais aussi l’évolution de la personne la subissant, la plupart des symptômes changent de formes ou mutent pour en former des nouveaux. En fait la pathologie se ramifie en une multitudes de symptômes.

Moins la personne se penchera et s’intéressera à sa problématique, plus les symptômes s’amplifieront, moins la personne s’écoutera et plus la problématique prendra de l’importance jusqu’à englobée et incapacité les différents secteurs de la vie d’une personne.

En fait, un symptôme n’est que l’expression d’une problématique à résoudre. Un point d’alerte permettant de prendre conscience que quelque chose est à résoudre ou à comprendre.

Si une maison brûle, l’alarme incendie va ce déclencher. Cette alarme, bien que désagréable, est là pour nous avertir d’un danger. L’alarme est le symptôme de l’incendie. Et si on l’ignore on risque une problématique bien plus grande qu’un son dérangeant.

Il faut comprendre le symptôme d’une pathologie de la même manière qu’une alarme incendie, ce dernier permet de préciser la problématique. Et s’il n’est pas écouté l’on prend un risque bien plus grand, celui de voir notre maison bruler.

De toute manière, votre inconscient multipliera les symptômes pour que vous preniez conscience de la problématique. Et si vous décidez, quoi qu’il en coute de l’ignorer, les symptômes vont se manifester de sorte à faire grandir le mal-être en vous jusqu’à s’imposer totalement.

Le symptôme n’est qu’un mirage, il ne nécessite pas d’être traité directement. Ce dernier est le point d’appel, la prise de conscience, mais la véritable solution se trouve dans la résolution de la problématique, la cause commune et profonde.

Résoudre la cause commune et profonde

La cause commune et profonde est le réservoir ainsi que l’origine des différents symptômes. C’est cette cause sur lequel le thérapeute quel qu’il soit doit se concentrer !
Ainsi en hypnothérapie on distingue deux types de thérapeutes, ceux qui cherchent à résoudre le symptôme et ceux qui cherchent à résoudre la cause.

Il est possible d’éliminer un symptôme ou même plusieurs via l’hypnose, cependant la plupart du temps la problématique n’est pas résolue, et le symptôme quel qu’il soit réapparait sous une formes différentes. Parfois moins violent, mais parfois bien plus violent.

Tandis que les thérapeutes cherchant à résoudre la cause profonde, travaillent sur les valeurs ayant étais lésés à la suite de la problématique, comme ici à Caen. Ces derniers cherchent l’instauration d’un nouvel équilibre au sein de la personne, ainsi la problématique mais aussi l’ensemble des symptômes disparaissent.

Pour métaphoriser ceci sous la forme d’un exemple, on peut imaginer un arbre. Un arbre est constitué d’un tronc ainsi que de différentes branches. Le tronc est assimilé à la cause commune et profonde de la problématique, tandis que les branches elles sont assimilés aux différents symptômes.

Dans cet exemple, un thérapeute cherchant à résoudre les symptômes d’une problématique s’attarderait à couper les branches les une après les autres au fur et à mesure qu’elles repoussent. Tandis qu’un hypnothérapeute se centrant sur la cause profonde lui, sciera le tronc de l’arbre permettant d’éliminer à la fois la cause ainsi que les symptômes.

Cependant, ce n’est pas forcément toujours évident de pouvoir identifier la cause profonde liée à la problématique, cette dernière étant même parfois inconsciente ou dissoute parmi différentes causes reliés entre elles.

La psychanalyse s’attarde d’ailleurs à chercher la cause, car la résolution de la problématique d’une personne n’est possible que quand cette cause est connue, permettant notamment l’abréaction, selon ce courant de pensée.

En hypnothérapie, que l’on trouve ou non la cause de la problématique cela n’est pas un frein à la résolution de cette dernière, l’essentiel pour pouvoir résoudre une problématique se situe dans la résolution des valeurs (confiance, estime, passé, avenir…) ayant étaient lésés. Ces valeurs peuvent être trouvé via la connaissance de la cause mais aussi grâce aux symptômes, qui permettent des les identifier. Et là, est la confusion entre résoudre les symptômes ou la cause.

En soi, si vous souhaitez couper un arbre, vous commencer par les branches ou vous scier directement le tronc ?

Pour conclure, l’hypnose est un formidable outil pour permettre la résolution de nombreuses problématiques. Les suggestions sont le moteur d’une hypnothérapie permettant le changement d’une personne. Mais avant de pouvoir entamer une introspection sur soi-même ou encore résoudre sa problématique il faut être à l’écoute de soi, de son corps ainsi que de son esprit. Les symptômes ne sont pas seulement des handicaps subis, ils sont avant tout une formidable alarme nous permettant d’identifier la cause profonde de notre mal-être !

Rien ne sert de s’attarder sur les symptômes en thérapie, mais ces derniers doivent être pris en considération, car ce sont eux qui sont le point d’appel d’une personne dans sa demande de résolution d’une problématique.

Lire la suite ...
1 2 3 4
Page 3 of 4